11e édition

Maison des arts du Grütli, Genève - Suisse

04 – 13 octobre 2024

WHO I AM NOT

Dimakatso et Sharon-Rose sont deux personnes intersexes sud-africaines aux vécus différents. Opéréex à de multiples reprises dans son enfance mais sans aucune information sur la teneur ou la raison de ces actes chirurgicaux, Dimakatso cherche des réponses auprès de sa famille, du corps médical, mais aussi un travail auprès d’entreprises incrédules et sa place dans une société binaire. Sharon-Rose s’identifie en tant que femme, a des chromosomes XY et ne possède ni ovaires ni utérus: un drame pour celle qui rêvait de donner la vie.
En plongeant également dans le contexte culturel local (école, entreprise, église, chamanisme), le film instruit et questionne. C’est un voyage à la découverte de soi-même, à l’affirmation d’une identité au-delà des apparences et des normes. Une identité, inévitablement réfléchie, qui puise aux sources du ressenti. 

en lien avec la table ronde Intersexuation dans le miroir – SAM. 07 – 15h00

Cinéaste Tunde SKOVRAN
Genre documentaire
Année 2023
Durée 103 min
Pays RO ZA DE CA US
Audio EN
Sous-titres FR
Âge min. lég. Dès 16 ans

PREMIÈRE SUISSE 

Prix du public meilleur documentaire à Frameline San Francisco, Prix du meilleur film LGBTIQ+ au festival du film documentaire de Thessalonique et huit autres récompenses dans des festivals. Sélectionné dans dix festivals internationaux 

Avec le soutien du Bureau de Promotion de l’Égalité et de prévention des Violences de la République et canton de Genève 

TW : récits de violences physiques ou verbales 

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Dimakatso et Sharon-Rose sont deux personnes intersexes sud-africaines aux vécus différents. Opéréex à de multiples reprises dans son enfance mais sans aucune information sur la teneur ou la raison de ces actes chirurgicaux, Dimakatso cherche des réponses auprès de sa famille, du corps médical, mais aussi un travail auprès d’entreprises incrédules et sa place dans une société binaire. Sharon-Rose s’identifie en tant que femme, a des chromosomes XY et ne possède ni ovaires ni utérus: un drame pour celle qui rêvait de donner la vie.
En plongeant également dans le contexte culturel local (école, entreprise, église, chamanisme), le film instruit et questionne. C’est un voyage à la découverte de soi-même, à l’affirmation d’une identité au-delà des apparences et des normes. Une identité, inévitablement réfléchie, qui puise aux sources du ressenti. 

en lien avec la table ronde Intersexuation dans le miroir – SAM. 07 – 15h00