Milieu des années 1920, au sanatorium, Marcelle, 20 ans, surnommée «Ultraviolette», est la leader d’un groupe de trois jeunes femmes. Malgré la tuberculose qui les affecte, ces intrépides vivent la rébellion et l’amour. L’histoire vraie de ce gang a été découverte grâce à une collection de lettres soigneusement gardée par la grand-mère décédée du réalisateur. Reconstitué par le biais de photos, de films anonymes et la voix épistolaire de Marcelle, le récit qu’il en fait est époustouflant. On y ressent la joie incroyable d’une femme en avance sur son temps. L’art du cinéma est ici à son comble. Hommage à une vie brûlante.